Après avoir mis à nu les confidences de 3 influences, aujourd’hui je vous parle de Débora Costanzo, influenceuse Instagram.
Depuis petite, Débora Costanzo est attirée par la mode et le maquillage. A 16 ans elle s’inscrit sur Instagram et commence à publier des photos de ses « make up ». Au début, pour elle « ça paraissait amateur, mais j’ai appris sur le tas et j’apprends encore« .
Pour deb.ora_costanzo, son pseudo sur Instagram, être influenceuse c’est le fait d’influencer les autres d’une façon positive, que ce soit par le goût, l’univers ou les conseils qu’elle peut leur donner. Mais ce n’est pas tout ! C’est aussi une passion de transmettre ce qu’elle sait aux autres, elle aime les aider à se maquiller, à associer tel ou tel vêtement.

« Je n’ai pas assez d’impact »
La jeune femme aux 1955 followers se considère plus ou moins comme une influenceuse. En effet, elle n’aurait pas assez d’impact. Etant donné que, contrairement à certaines, elle n’a pas des milliers de followers, alors elle n’a pas énormément de commentaires ou de réponses lorsqu’elle publie quelque chose. « Par exemple je vais mettre une storie, je vais poser une question et je vais avoir très peu de réponses« .
Pour elle, peu importe le nombre de followers, ce qui compte c’est la communication avec sa « communauté » comme elle l’appelle. C’est quelque chose de très important car « sans échange, il n’y a rien« .

S’impliquer est le mot clé. Elle s’intéresse aux autres comptes en prenant le temps d’aller les visiter, d’aller découvrir d’autres univers. « J’adore regarder les looks des autres, je m’inspire de pleins d’idées« . Quand elle voit quelque chose qu’elle aime elle n’hésite pas à commenter et à s’abonner.
Similairement à ce qu’elle voit, elle va poster régulièrement des photos et va essayer de donner du contenu intéressant toujours concernant la mode. Elle considère ça comme un passe-temps mais surtout comme un travail étant donné qu’il faut être « active souvent pour développer sa communauté« .
Elle rêve que ça devienne un travail à temps plein. Sa passion pour la mode est tellement profonde qu’elle a même décidé de créer sa boutique en ligne de vêtements, ANA & ORA.
« Instagram, c’est superficiel »
De temps en temps, la jeune blogueuse reçoit certaines remarques, sans pour autant que l’on porte des messages haineux. . On lui rappelle seulement que « ce n’est pas ton univers, Instagram c’est superficiel« , mais peu lui importe, « j’aime ça » sera le mot de la fin.
Débora, fan de mode et de beauté, fait ce qui lui plait et continuera de publier des photos qui font rêver.